Ses lieux

François Mitterrand aimait la France et ses paysages qu’il décrit à de multiples reprises dans ses livres.
Dans l’un d’eux – L’abeille et l’architecte –, il fait remonter cette passion à l’enfance et cherche à décrire son souvenir : « Il y avait des chênes, des saules, une rivière et la vallée qui se relevait pour se fondre dans le bleu horizon, couleur de circonstance des années d’après-guerre, à hauteur assez honorable pour qu’on pût se flatter d’avoir devant soi des collines ».
De ce spectacle du paysage, François Mitterrand a gardé le goût pour la marche et le retour régulier dans certains lieux qu’il aimait et auxquels son nom reste aujourd’hui encore associé.