Les Prisonniers de guerre devant la politique
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1965-1981 : Une longue marche vers le pouvoir
« En France, je cherche à entraîner un mouvement populaire et je veux que les classes sociales qui composent ce mouvement populaire aient leur mot à dire dans les affaires de la Nation et dans les affaires de l’état. »[[Interview de François Mitterrand au magazine Time, lundi 12 octobre 1981.]]
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1981-1986 : L’exercice du pouvoir
« Nous avons tant à faire ensemble et tant à dire aussi. »[[Allocution prononcée par François Mitterrand au palais de l’Élysée, jeudi 21 mai 1981.]]
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1981-1988 : Politique internationale
« Nos peuples, je le crois, attendent que nous réagissions contre l’évolution présente. Mais comment se ressaisir sans posséder une dimension suffisante ? Une voix assez forte ? Pour moi – pour nous – cette dimension, c’est la dimension européenne. Tournons le dos à des comportements qui enfoncent l’Europe dans de stériles querelles de famille. Il ne s’agit pas d’oublier les légitimes intérêts de chacun, les concurrences, mais de les transcender dans le dynamisme retrouvé de la construction européenne. »[[Discours prononcé par François Mitterrand devant le Bundestag à l’occasion du 20e anniversaire du traité franco-allemand de coopération, Bonn, jeudi 20 janvier 1983.]]
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1986-1988 : La première cohabitation
« La Constitution, rien que la Constitution, toute la Constitution. »[[Message de François Mitterrand au Parlement, mardi 8 avril 1986.]]
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1988-1993 : L’exercice du pouvoir 2
« Cette énumération, qui n’est pas exhaustive, dicte notre devoir et justifie nos priorités : la réduction des inégalités par le dialogue social, l’éducation, la formation, le logement, la haute technologie appliquée. »[[ Interview accordée par François Mitterrand au journal Le Monde, mardi 19 juin 1990.]]
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1988-1990 : Un monde qui change
« Au-delà de l’Europe de Yalta qui achève de se défaire sous nos yeux, ne perdons pas de vue l’Europe qui se bâtit. »[[Interview accordée par François Mitterrand au magazine L’Expansion, 17 octobre 1991.]]
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