« Guillemin, Berl, Thomas, Jünger et bien d’autres… »
À l'automne de 1974, François Mitterrand rend une première visite à Henri Guillemin à La Cour des Bois, hameau du Mâconnais. L'écrivain lui fait découvrir un texte de Jaurès sur la mort de Tolstoï et ses ultimes méditations : la finitude humaine, le secret des constellations, les mystères de l'au-delà. Puis ils causent de Lamartine qui parcourut les chemins alentour : Milly, Bussières, Cormatin. « Un homme pour de bon » disait Guillemin du poète.
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