La Paille et le Grain
Cette chronique personnelle, où l’auteur exprime en toute liberté ce qui lui vient à l’esprit, s’étend de 1971 à l’été 1974. Certains textes ont paru dans le « bloc-notes »…
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Silence absolu sur le plateau
Ce n'était que la cinquième émission d'Apostrophes. À l'occasion de la sortie de La Paille et le grain, j'avais convié François Mitterrand pour qu'il parle de son livre et de ses écrivains favoris. Il inaugurait une série intitulée « Une personnalité et ses lectures », car je considère qu'une personne renommée, populaire, capable d'évoquer avec intelligence et passion les livres qui ont marqué sa sensibilité, capable aussi d'expliquer le plaisir qu'elle prend à la littérature, encourage les jeunes téléspectateurs à lire. N'est-ce pas là le rôle d'une émission littéraire et du service public ?
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Pourquoi pas Lamartine ?
À cette époque, les intellectuels et autres gens de lettres affectaient de douter de la culture et du goût de François Mitterrand et, pour souligner le bien-fondé de leurs préventions, ils citaient le penchant de François Mitterrand pour Lamartine et Jacques Chardonne. Et puis, un jour, Bernard Pivot a invité le futur président de la République à son émission Apostrophes.
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La force d’une nécessité intérieure
Au mois de septembre 1978, François Mitterrand participait à l'émission « Apostrophes » de Bernard Pivot avec, comme invités, Michel Tournier, Paul Guimard, Patrick Modiano et Emmanuel Le Roy Ladurie. C'était à l'occasion de la sortie de son livre « L'Abeille et l'architecte ». Extraits.
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